- Après le passage d’Irma, EDF organise les secours ;
- Enedis répond aux opposants du compteur Linky ;
- Les hydroliennes en phase d’expérimentation ;
- La filiale d’EDF Citelum participe à la première smart city française ;
- Le gouvernement assouplit son projet de loi sur les hydrocarbures en France.
Selon le directeur juridique d’Enedis, Jean-François Vaquieri, le mouvement de contestation contre le nouveau compteur connecté Linky reste « très limité ». En tant qu’entreprise régulée, Enedis ne fait que respecter le dispositif normatif prévu par le législateur ». Certaines petites communes ont adopté des délibérations en conseil municipal pour s’opposer à l’installation de Linky. Or, « lorsque ces délibérations ont été déférées devant des tribunaux administratifs par des préfets, auxquels Enedis s’est joint, elles ont toujours été suspendues », affirme le directeur juridique. Le principe de précaution pourrait-il s’appliquer ? « Aucun obstacle à ce sujet, un arrêt du Conseil d’Etat rendu en 2013 rappelle que Linky ne dépasse pas les seuils prévus par la loi », répond le directeur juridique. (Les Echos Executives du 11/09)
Le site d’expérimentation pour les hydroliennes (Seeneoh) installé à Bordeaux a nécessité un investissement de 3 millions d’euros. L’essentiel du marché des hydroliennes fluviales se situe…. |
…sous les tropiques, pour les habitants de zones non connectées à un réseau. Ce marché de l’énergie hydrolienne fluviale, des estuaires et des atolls polynésiens est estimé à 10 000 Gigawatt d’ici à dix ans. D’où l’intérêt des PME pour ce secteur. (Les Echos du 11/09)
Dijon va se doter fin 2018 d’un centre de pilotage où toutes les données de la ville (éclairage, eau, propreté, déplacement…) seront remontées et exploitées en temps réel. Ce projet sera réalisé par un consortium mené par Bouygues, associé pour l’occasion à Citelum, filiale d’EDF, SUEZ et Capgemini. (Le Figaro économie du 11/09)
Le gouvernement a revu son projet de loi prévoyant la fin de l’exploitation des hydrocarbures en France qui a été présenté la semaine dernière. Ce projet de loi a été remanié en toute discrétion, dans un sens plus favorable aux industriels. Contrairement à ce qui avait été présenté, les concessions actuelles pourront être renouvelées, à condition de ne pas dépasser la date de 2040. Initialement, elles devaient être arrêtées au fur et à mesure de leur expiration. (La Croix du 11/09) |